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Hier, mardi 29 juillet, s’est ouvert à la salle Marie Joséphine Diallo de l’Assemblée nationale, le Dialogue national sur les investissements verts. Organisé par le cadre du parlement du climat en partenariat avec ONUDI (Organisation des Nations Unies pour le développement industriel), cet atelier tenu dans le cadre du projet parlementaire pour la finance climat, soutenu par le parlement du climat en rapport avec l’ONUDI est un cadre privilégié de dialogue entre diverses parties prenantes notamment les parlementaires, la société civile, le secteur privé pour discuter des questions liées à la promotion des énergies renouvelables.
« Ce dialogue vise à réunir les parties prenantes venant des institutions publiques, du secteur privé ainsi les parlementaires discuter des aspects autour des défis et opportunités liés au développement des investissements verts ainsi qu’aux zones d’énergies vertes au Sénégal », a déclaré l’honorable député Ayib Daffé, président du comité de pilotage, qui soutient que « les parlementaires ne peuvent pas rester indifférents à la question liée aux énergies renouvelables d’autant plus c’est une question qui est au cœur de l’agenda national. »
C’est dans ce cadre, dit le président du comité de pilotage, qu’« il trouve important de voir quels sont aujourd’hui les acquis ? Quelles sont les Insuffisances du cadre juridique, du cadre réglementaire, du cadre politique, des outils qui sont en place, des outils techniques et financiers pour la promotion des énergies renouvelables ».
De son côté, Rafik Feki, représentant de l’ONUDI pour le Sénégal, la Gambie, la Guinée Bissau, la Mauritanie et le Cap-Vert est revenu sur l’accompagnement de son organisation au gouvernement du Sénégal. A ce titre, il annonce des discussions en cours pour développer un cadre de coopération appelé partenariat pays. Selon lui, « Ce programme suit l’objectif du gouvernement dans sa vision 2050 notamment en termes de développement industriel. » Dans cet élan d’accompagnement, l’ONUDI vient appuyer les efforts du gouvernement pour soutenir cette transition énergétique avec deux éléments dont le premier, « c’est de trouver les ressources et l’écosystème nécessaire pour encourager ce type de production d’énergies renouvelables », souligne M. Feki qui ajoute en ce qui concerne le deuxième élément, que « c’est comment utiliser cette énergie pour assurer une industrialisation souveraine du pays. »
Rappelant l’importance que porte le nouveau référentiel du Sénégal en matière de transition énergétique, Fatou Dyana Ba, directrice du bureau de mise à niveau des entreprises indiquera que ce dialogue vient à son heure. Car, déclare-t-elle, « il va permettre au Bureau de Mise à niveau de se porter à la connaissance des parlementaires, mais également de montrer les actions que le Bureau est en train de mettre en place… ». Sur ce, elle trouve qu’« il est important que les entreprises puissent ensemble converger pour voir comment aller vers cette transition énergétique. »
OUSMANE GOUDIABY
L’article Promotion des énergies renouvelables : parlementaires, société civile et secteur privé en partage sur les investissements verts est apparu en premier sur Sud Quotidien.