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on - Apr 22 -
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Bébé vivant découvert à Diamaguène
Un bébé vivant de sexe masculin a été découvert en premier, ce samedi dans la matinée, par une dame au quartier Diamaguène. Une découverte qui a ameuté les riverains venus s’enquérir de l’état de santé du bébé. Ce dernier a été déposé par un (e) inconnu(e) devant un domicile sis au quartier Diamaguène avant de prendre la tangente. Informée, la police s’est déportée très vite sur les lieux. Après les contacts d’usage, le nourrisson a été évacué à l’hôpital régional El Hadji Amadou Sakhir Ndiéguène de Thiès par les sapeurs-pompiers…
Un bus se renverse à l’entrée de Louga
Ce dimanche 21 avril, un grave accident s’est produit, vers dix heures, sur la route Kébémer -Louga entre les villages de Kidiom et Keur Makhary (département de Kébémer). Un bus de marque Renault immatriculé AA454-GG, provenant de Saint Louis pour se rendre à Tivaouane pour la Ziarra annuelle, s’est renversé après l’éclatement de la roue avant gauche. Le bilan provisoire fait état de 58 blessés dont 10 graves. Selon les informations reçues, le chauffeur a perdu le contrôle du volant et le bus a percuté un arbre sur le bas-côté gauche de la route. Avisés, les gendarmes de la brigade territoriale de Kébémer se sont rendus sur les lieux de l’accident pour procéder aux opérations de constat. Les blessés légers ont été évacués au centre de santé de Guéoul tandis que les plus graves ont été transférés à l’hôpital régional Amadou Sakhir Mbaye de Louga .
Le corps sans vie d’une collégienne retrouvée à la plage de Yeumbeul
Yeumbeul nord est plongé dans le deuil suite à deux tragédies en mer qui ont secoué la commune. Après quatre jours de recherches intenses, le corps sans vie de Faty Sy a été retrouvé hier matin à la plage de Gadaye. Elle et Pape Cheikh ont été emportés par les vagues de l’océan. La disparition de ces deux collégiens a provoqué une onde de choc à Yeumbeul, laissant familles et amis dans un état de consternation et de douleur profonde. Malgré les efforts acharnés des équipes de recherche, l’issue est triste pour les deux familles, confrontées à la perte insurmontable de leurs proches.
L’Armée sénégalaise a mené une patrouille conjointe avec la Mauritanie
Dans le cadre de la coopération sécuritaire entre le Sénégal et la République Sœur de Mauritanie, une patrouille conjointe Sénégalo-Mauritanienne a eu lieu du 16 au 18 avril 2024, renseigne la Direction de l’Information et des Relations Publiques des Armées sénégalaises (Dirpa) sur sa page X. Ainsi, à travers leurs unités frontalières, des activités opérationnelles communes ont été menées. Il s’agit de la sensibilisation des populations de part et d’autre, des échanges d’informations…
Rappelons que le chef de l’État Sénégalais, Bassirou Diomaye Faye a effectué sa première sortie officielle, le jeudi 18 avril 2024, en Mauritanie.
Déguerpissement des marchands ambulants
La question du déguerpissement des marchands ambulants ne cesse de faire hausser des voix. Ancien parlementaire, cet aménagiste dénonce de mauvaises politiques d’aménagement du territoire. « En réalité, les occupations spontanées, irrégulières, anarchiques ont une cause structurelle : l’absence de politique de gestion rationnelle de l’espace », note-t-il.
À l’en croire, par respect à la dignité des marchands ambulants, « il y a lieu d’arrêter d’en faire les boucs émissaires d’un échec des pouvoirs publics dans la politique de gestion et de planification des formes d’occupation des espaces. Le phénomène persistera à coup sûr tant que les actions publiques restent fondées sur la force, la répression… » Cependant, il fait savoir que « Nous sommes rattrapés aujourd’hui par les conséquences de la non planification de l’occupation de l’espace en l’absence de toute politique rigoureuse d’aménagement des terroirs :
Déguerpissement des marchands ambulants (suite)
À titre d’illustration, les cérémonies familiales (baptêmes, mariages, cérémonies funéraires, religieuses) se tiennent dans les rues rendant insupportable la circulation déjà difficile », regrette M. Sané. De ce point de vue, il dénonce, « les marchands ambulants font l’objet d’une stigmatisation, d’une répression, et d’un traitement à la limite de la tolérance des droits de l’homme », dit-il. Dans une note qui nous est envoyée, l’homme politique dénonce tout usage de la force pour les réprimer. « Ceux-là qui pensent utiliser la force publique en vue de rétablir l’ordre public font preuve d’un zèle découlant d’une compréhension superficielle du phénomène de l’occupation anarchique de l’espace… ». Ainsi pour juguler ce fléau que peine à résoudre les collectivités territoriales, le spécialiste sert sa recette. « Le changement de démarche s’impose : analyser en toute lucidité et en toute sérénité le phénomène de l’encombrement des lieux publics en vue d’apporter des réponses structurelles… »
Au moins 58 morts dans un naufrage à Bangui
Au moins 58 personnes sont mortes et d’autres portées disparues vendredi dans le naufrage d’une péniche surchargée sur la rivière Mpoko à Bangui alors qu’elles se rendaient à des funérailles, a annoncé samedi le directeur général de la protection civile. « On a pu extraire 58 corps, sans vie. On ne sait pas le nombre total de personnes qui sont sous l’eau » a déclaré Thomas Djimasse, dont les équipes sont arrivées sur place 40 minutes après le drame, à Radio Guira.
L’embarcation appelée baleinière transportait plus de 300 personnes, bien au delà de sa capacité, et se dirigeait vers Makolo pour assister aux funérailles d’un chef de village, ont indiqué des témoins. Le bateau a chaviré peu de temps après son départ de l’embarcadère d’après Maurice Kapenya, un témoin qui le suivait « dans une petite pirogue », faute de place à bord et a sorti les premières victimes, dont sa propre soeur, avec l’aide de pêcheurs et de riverains, avant l’arrivée des secours. Samedi, des familles se trouvaient toujours près de la rivière à la recherche de leurs proches toujours portés disparus.