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on - Apr 23 -
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La maison du chanteur Alioune Mbaye Nder consumée par les flammes
La maison appartenant au chanteur Alioune Mbaye Nder a été réduite en cendres. Un violent incendie a ravagé le domicile sis à Hann Mariste. Selon nos sources, à trois reprises le feu a été éteint par les Sapeurs-pompiers avant de reprendre de plus belle et toutes les chambres, sauf celle de sa défunte épouse ont été ravagées. Les affaires de cette dernière sont les seules épargnées par les flammes. A Tivaouane au moment du sinistre pour les raisons de la Ziarra annuelle, le lead vocal de Setsima groupe, dit s’en remettre à Dieu. A noter qu’aucune perte en vie humaine n’est enregistrée. L’origine de l’incendie n’est pas encore déterminée. Une enquête est ouverte par la gendarmerie.
Un enfant de 6 ans meurt dans l’effondrement d’une dalle à Yeumbeul Sud
Dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 avril 2024, un drame a frappé le quartier Médinatoul Mounawara de la commune de Yeumbeul-Sud. Le corps sans vie de Mbaye Guèye, âgé de 6 ans, a été retrouvé sous les décombres, après l’effondrement d’une dalle. Selon nos informations, l’accident s’est produit dans l’une des chambres situées au rez-de-chaussée où vit la famille Guèye. La dalle s’est effondrée brusquement, prenant au dépourvu tous les membres de la famille qui se trouvaient à l’intérieur. Le chef de famille et sa femme ont miraculeusement survécu, bien que grièvement blessés. Le père souffre de fractures à la tête et de blessures aux côtes, tandis que la mère a été blessée au pied droit. Le corps de l’enfant a été transporté à la morgue de l’hôpital de Pikine. La police a ouvert une enquête.
Une femme jette un enfant de 3 ans dans un puits
Ramata Diol jouit-elle de toutes ses facultés mentales ou est-elle affectée par une jalousie maladive ? Cette question se pose alors que la jeune femme de 22 ans a été jugée en chambre criminelle pour assassinat, après avoir jeté un enfant de 3 ans dans un puits. Les événements remontent à octobre 2022, dans la ville de Pété où les gendarmes ont reçu une information selon laquelle le corps sans vie d’un enfant de 3 ans avait été retrouvé dans un puits. Après l’enquête faite par la brigade de Pété, Ramata Diol, qui s’occupait du petit, a été arrêtée. Face aux gendarmes, Ramata Diol, qui vit dans la même concession que son père et sa tante, a reconnu avoir jeté son neveu de 3 ans, Yoro Oumar Diop, dans un puits. Un acte odieux et incompréhensible qui aurait été motivé, selon certains, par la jalousie.
Une femme jette un enfant de 3 ans dans un puits (Bis)
Ramata Diol, qui avait avoué le crime aux enquêteurs et au juge d’instruction, disait avoir agi ainsi pour se venger de sa tante. Mais à la barre, elle a complètement changé de version. Elle a déclaré n’être en rien concernée par la mort de son neveu. Elle a expliqué que le jour du drame, elle était partie suivre la télé chez une amie. À son retour, elle avait constaté que l’enfant n’était plus là. Interrogé à son tour, le père de l’accusée a tenté de l’innocenter en changeant lui aussi de version, soutenant que Ramata Diol avait été tabassée par les gendarmes. Le père de l’enfant, malgré la perte de son fils, a lui aussi tenté de disculper l’accusée. Mais cela n’a pas convaincu le tribunal qui, après délibération, a condamné Ramata Diol à 10 ans de réclusion criminelle.
Un dealer cachait des pilules d’ecstasy dans ses parties intimes
Le commissariat urbain de Mbacké a mis la main sur un dealer qui avait dissimulé neuf pilules d’ecstasy dans ses poches et dans ses parties intimes. S. S. Thioune a avoué avoir acquis la marchandise illicite à Médinatoul Salam, lors de la cérémonie religieuse du 17 avril. C’est au quartier Gawane que S. S. Thioune est tombé dans les filets des éléments du commissariat urbain de Mbacké. Le trafiquant de stupéfiants a été surpris devant une maison par des policiers en civile. La fouille corporelle a permis aux éléments de la brigade de recherches de découvrir neuf pilules d’ecstasy ou volets, selon des informations de Seneweb. Pour ne pas éveiller les soupçons, S. S. Thioune avait dissimulé la drogue dans ses parties intimes et dans ses poches.
Un dealer cachait des pilules d’ecstasy dans ses parties intimes (suite)
L’arrestation de ce dealer est consécutive à l’exploitation d’un renseignement émanant d’une source digne de foi. Ce jour-là, le limier en chef de Mbacké a été informé que ce commerçant âgé de 26 ans s’adonnait également au trafic de stupéfiants. Séance tenante, le commissaire Alioune Fall a mis en action ses hommes. Ainsi, lors d’une patrouille, les limiers ont interpellé S. S. Thioune en flagrant délit. Interrogé sur procès-verbal, S. S. Thioune a reconnu être le propriétaire de la drogue, tout en niant être un trafiquant. Pour lui, la drogue était destinée à sa consommation personnelle. « J’ai acheté la drogue à 20 000 F CFA auprès d’un ami à Mbour, lors de la cérémonie religieuse du 17 avril », avoue-t-il lors de son interrogatoire. Au terme de l’enquête, S. S. Thioune a été présenté ce lundi au procureur de la République près le tribunal de grande instance de Diourbel.
Saisie de dix kg de chanvre indien sur un vieux de 85 ans
La brigade régionale des stupéfiants a fait une saisie de dix kg de chanvre indien sur un vieux âgé de 85 ans dans le département de Bounkiling à bord de sa moto. Ainsi, au cours de l’inspection, il a été constaté qu’il transportait sur sa moto Jakarta un sac de voyage contenant 10 kg de chanvre indien de la variété dite verte. Devant les faits, le vieillard soutient qu’il se rendait à Kolda. Ainsi, il sera présenté au parquet pour trafic de drogue.
Manifestations des conducteurs de Motos Jakarta à Saly
Les conducteurs de motos Jakarta ont improvisé une manifestation dans la commune de Saly ce 22.04.2024 pour disent-ils dénoncer les tracasseries policières. Ils ont érigé des barricades et brûler des pneus dans différentes artères avant d’être stopper dans leur progression par la police. 13 d’entre eux ont été interpellés. Ils veulent que les contrôles sur la route cessent.
En fait, d’après une source, pour réglementer la circulation des vélos taxis dans la commune de Saly, sur la base notamment de l’arrêté numéro 8903 MIT/DTR du 29.10.2012 du ministère en charge des transports, a signé avec les conducteurs une convention dans laquelle ils s’engagent à s’identifier à la Mairie. Ainsi moyennant 5000 FCFA, ils leur est remis un gilet et une plaque d’identification. Ils se sont engagés aussi à payer à la Mairie une taxe journalière de 100FCFA ou 3000 FCFA le mois. Et pour leur sécurité, il leur est exigé le port du casque.
Pour mettre en œuvre cette mesure la police est mise à contribution pour des contrôles réguliers sur la voie publique durant lesquels, il est vérifié si le conducteur porte un casque et dispose d’une plaque et d’un gilet qui permet de l’identifier mais malheureusement il y a beaucoup de récalcitrants. Cette identification et les opérations de contrôle sont rendues nécessaires par le fait que les conducteurs sont souvent accusés d’être auteurs des cas de vols à l’arrachée dans la commune, nous a confié notre source. Les conducteurs de motos Jakarta donnent comme explication à cet état de fait qu’ils sont infiltrés par des personnes mal intentionnées.