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Dans un spectacle digne d’un mauvais film politique, Alger, régime des coups fourrés et des manipulations grossières, a probablement et certainement mis la main sur la Grande Mosquée de Paris (GMP). Bienvenue dans le théâtre absurde où un lieu sacré devient un outil de propagande et de business déguisé.
Ce joyau historique, inauguré en 1926 pour honorer les soldats musulmans ayant combattu pour la France, est aujourd’hui réduit à un simple levier d’influence au service des fantasmes géopolitiques des séniles du pouvoir d’Alger. La GMP est avant tout une œuvre marocaine, du minbar à son somptueux jardin.
Pourtant, les autorités françaises, dans un malheureux coup du sort, ont confié cette institution à la junte militaire algérienne, un régime sénile, odieux et marqué par des pratiques criminelles. Ce lieu de culte, qui devrait être un symbole de paix et de spiritualité, est aujourd’hui transformé en nid d’espions et d’agents provocateurs, semant la division et la haine sous le couvert de la religion.
La mainmise de l’Algérie sur la GMP s’est faite dans l’ombre d’une loi française controversée. En effet, cette législation stipule qu’un pays étranger qui finance une association de droit français pendant 15 ans peut en revendiquer la propriété. Et, voilà, la mosquée devient donc une « propriété » de l’État algérien via son ambassade à Paris. Une ambassade, notons-le, orpheline d’ambassadeur, mais apparemment riche en espions prêts à s’infiltrer jusqu’aux tapis de prière.
Aujourd’hui, la GMP ressemble davantage à un bureau annexe des services secrets algériens qu’à un sanctuaire de paix et de spiritualité. Les sermons religieux y côtoient les messages politiques, le tout orchestré par Chems-Eddine Mohamed Hafiz, recteur autoproclamé et avocat passionné des séparatistes du polisario. La prière s’y fait sous haute surveillance, et les fidèles ne savent plus s’ils invoquent Dieu ou s’ils entendent un briefing déguisé des autorités algériennes.
Mais ne vous y trompez pas, la GMP n’est pas qu’un outil de propagande. Elle est également devenue un business florissant, transformant la foi en marchandise. La certification halal délivrée par la mosquée est aujourd’hui une opération commerciale juteuse, où le label de la GMP sert plutôt les intérêts financiers d’Alger que les consommateurs musulmans en quête de transparence.
Ajoutez à cela la présence d’un café à chicha, d’un salon de beauté et d’autres « activités peu spirituelles » comme des baisers volés et vous obtenez un lieu où l’on peut prier, se faire une manucure, voire plus si affinité et discuter géopolitique autour d’un narguilé. Il ne manque plus qu’un guichet pour les demandes de visa à destination d’Alger pour compléter le tableau.
La prise de contrôle de la GMP par l’Algérie n’est pas qu’une question de religion ou d’économie. C’est également une arme diplomatique. La mosquée sert de tribune pour attaquer les positions marocaines, notamment sur la question du Sahara. En s’imposant comme gestionnaire de ce lieu sacré, Alger y insuffle un discours politisé, cherchant à influencer les communautés musulmanes de France et au-delà.
Le recteur Hafiz, un fidèle “chien méchant“ algérien de surcroit qui “s’est fait tout petit“, qui, désormais, “rampe et fait le beau quand Alger le sonne et qui mange dans la menotte“ du régime du président mal nommé, ne cache pas sa haine du Maroc. Sous son mandat, la GMP s’est transformée en une plateforme pour promouvoir les thèses des séparatistes du polisario, allant jusqu’à diffuser une propagande hostile au Royaume dans ses activités « culturelles ». Ce qui était autrefois un symbole de l’unité musulmane devient un outil de division, instrumentalisé pour des ambitions politiques.
Ce qui choque le plus dans cette saga, c’est le détournement complet de la vocation originelle de la GMP. De lieu de culte et de spiritualité, elle est devenue une succursale d’un régime en perte de légitimité, transformant la foi en un outil de manipulation. Ce n’est plus la mosquée de tous les musulmans de France, mais un bastion des ambitions algériennes.
L’Algérie, fidèle à elle-même, a réussi à convertir un patrimoine religieux en une cour de récréation pour ses agents. Tout cela au service des deux séniles du régime des Muppets algériens qui dirigent le pays depuis leur balcon en rêvant de grandeur géopolitique, alors même que leur propre peuple croule sous les difficultés.
Le scandale de la Grande Mosquée de Paris est un exemple flagrant de la manière dont les institutions peuvent être détournées de leur vocation. Laisser un pays comme l’Algérie, avec ses pratiques autoritaires et sa diplomatie belliqueuse, contrôler un lieu aussi emblématique, c’est trahir l’héritage de ce monument.
Pour la communauté musulmane en France, cette situation est une tragédie. La GMP devrait être un espace de paix, de foi et de rassemblement, et non un outil d’influence pour un régime étranger. Il est temps de poser la question essentielle : qui protège vraiment ce lieu sacré et son message original ?
Avec des acteurs comme Hafiz aux commandes et un régime algérien avide de contrôle, il devient urgent de repenser la gestion de ce monument. La foi mérite mieux que des agendas politiques et des intérêts financiers. Et, le public, musulman ou non, mérite une mosquée qui soit un symbole de spiritualité, et non un rouage dans la machine de propagande d’un régime décadent.
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