Il suffit, parfois, d’une remarque caustique qui frappe là où le bât blesse – en l’occurrence le refus de s’exprimer sur ce que la classe politique française, à de rares exceptions près, appelle communément, et cyniquement, « le conflit au Proche-Orient » – pour donner un coup de pied dans la fourmilière de l’hypocrisie ambiante… […]