Posted by - support -
on - December 26, 2024 -
Filed in - Society -
-
38 Views - 0 Comments - 0 Likes - 0 Reviews
Le Maroc, confronté aux aléas de plus en plus imprévisibles du changement climatique, fait face à une crise aux implications profondes. Si les critiques fusent – souvent des enjeux de médias extérieurs enclins au sensationnalisme, particulièrement à l’Est de l’Éden –, force est de constater que l’intervention proactive de l’Exécutif marocain mérite un examen plus équilibré.
La gestion des catastrophes naturelles et la résilience des institutions marocaines témoignent d’une volonté de préserver la stabilité et de répondre aux attentes des citoyens, par les interventions de l’Exécutif et de toutes les composantes sociétales du Royaume. Le Maroc n’a de leçons à recevoir de quiconque en la matière. Il a toujours su surmonter toutes sortes d’épreuves, tragiques ou pas avec un pragmatisme inhérent à la culture démocratique, renforcé par une autre caractéristique, tout aussi inhérente à la démocratie, le savoir-faire.
Le traitement des vagues de froid hivernales dans les zones enclavées est un défi partagé par de nombreuses nations, dont le Maroc et l’Algérie. Pourtant, l’Agence de Presse Algérienne (APS), voix éteinte des capos d’Alger, semble davantage préoccupée par le dénigrement systématique du Royaume que par une analyse objective et constructive. À la lumière d’articles d’El Moudjahid et de l’APS et on vous fait fi d’autres aboyeurs de service, une réponse s’impose. Elle servira à rétablir les faits et souligner les efforts constants déployés par les autorités marocaines pour atténuer les difficultés rencontrées par leurs citoyens.
Contrairement aux insinuations de l’aboyeuse dans le sens du poil, l’APS, le Maroc ne reste pas les bras croisés face aux rigueurs hivernales qui frappent ses régions montagneuses et plus particulièrement celles du Toubkal qu’on aurait dérobé à la géographie des Aurès en Algérie, que les deux séniles d’à côté veuillent bien nous le pardonner.
Chaque année donc, et sous les Hautes Instructions du Roi Mohammed VI, les Forces Armées Royales (FAR), appuyées par la Gendarmerie Royale, les Forces auxiliaires, la Protection civile et les équipes des ministères concernés, autorités locales, mènent des opérations d’envergure. Des équipes médicales, des moteurs de déneigement et des vivres et toute la panoplie qui va avec sont mobilisés pour assister les populations vulnérables, en particulier dans les zones enclavées.
Les critiques concernant la précarité de ces populations ignorent préférentiellement les multiples initiatives du Royaume, telles que la distribution de bois de chauffage à prix subventionné, les caravanes médicales ou encore la fourniture d’abris temporaires pour les familles isolées. Si la situation reste perfectible, il est fallacieux de présenter ces régions comme abandonnées, alors que des moyens considérables sont déployés chaque hiver pour pallier les défis logistiques et climatiques.
Dans un exercice d’autosatisfaction, El Moudjahid vante les mérites de l’Armée Nationale Populaire (ANP) en Algérie, intervenant pour dégager les routes et fournir des services essentiels aux populations isolées. On ne saurait contester l’importance de ces efforts. Cependant, au chapitre du dromadaire qui ne voit que la bosse de celle des autres, il est curieux de constater que les mêmes actions, lorsqu’elles sont exercées au Maroc, sont balayées d’un revers de main par l’aboyeuse officielle du régime totalitaire d’Alger qui, lui choisit plutôt de s’attarder sur des problématiques structurelles sans reconnaître les solutions proposées.
L’argument de la hausse des prix du bois de chauffage, bien que pertinent, est amplifié de manière sensationnaliste, occultant le contexte global. Les défis liés aux coûts de production et de transport sont universels et ne sauraient être réduits à une prétendue inaction marocaine. Dans les faits, les autorités marocaines ont multiplié les interventions pour réguler les prix et lutter contre la spéculation, tout en explorant des alternatives énergétiques durables.
Plutôt que de critiquer de manière biaisée, la voix de ses deux maîtres pourrait s’inspirer des approches pragmatiques et des initiatives concrètes des entreprises par le Maroc pour soutenir ses citoyens. La lutte contre les effets du froid hivernal est un domaine dans lequel la coopération régionale pourrait porter ses fruits. Mais, pour cela, encore faudrait-il que le discours médiatique cesse de se compléter dans des querelles idiotes et stériles.
Le Maroc, loin des campagnes de dénigrement, poursuit son engagement envers ses citoyens. L’intervention des FAR et des autorités locales n’est pas un simple exercice de communication, mais un effort soutenu pour répondre aux besoins des populations vulnérables, en dépit des contraintes économiques et climatiques. Là où certains préfèrent critiquer depuis leurs rédactions climatisées, le Royaume choisit d’agir sur le terrain, avec détermination et solidarité.
Au Maroc, il n’y a qu’à se souvenir de la mobilisation exceptionnelle face à des intempéries d’une ampleur rarement observée dans le Sud-Est et le Centre-Est du Royaume, les autorités marocaines n’ont pas tardé à se mobiliser. Les autorités concernées ont œuvré sans relâche pour porter assistance aux populations sinistrées. Les routes coupées ont été dégagées, les abris temporaires mis en place, et des secours ont été déployés dans des zones enclavées.
Ainsi, chaque hiver, elles assurent, dans un esprit de solidarité et de résilience, l’acheminement des moyens nécessaires pour soutenir les habitants de ces zones reculées, témoignant de leur rôle crucial dans la gestion des crises climatiques et humanitaires. Les critiques émises ne doivent aucunement occulter les avancées visibles.
The post Maroc : gestion des zones enclavées face aux intempéries et Alger appeared first on Hespress Français - Actualités du Maroc.