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La réélection de Donald Trump à la présidence des États-Unis pourrait présager des temps difficiles pour le régime des Séniles d’Alger, alors que la politique américaine pourrait renforcer l’isolement géopolitique de l’Algérie.
En effet, le retour de Trump s’accompagnerait probablement d’un appui accru aux partenaires clés de la région, une alliance stratégique qui résonne comme une menace tangible aux oreilles du président mal nommé et de son gouvernement.
Sous l’Administration Trump, la coopération des alliances clés du Royaume s’était intensifiée, tissant des liens qui vont au-delà de la simple diplomatie. Avec son retour potentiel, ces relations pourraient s’épanouir à nouveau, plaçant Alger dans une position vraiment inconfortable.
Le régime des séniles du balcon des Muppets show made in Algeria, qui perçoit la question du Sahara marocain comme sa cause nationale sacrée, pourrait voir l’Administration Trump faire de nouvelles concessions en faveur du Maroc, notamment l’ouverture d’un consulat américain à Dakhla. Un tel geste marquerait certainement un nouveau coup dur pour l’Algérie, accentuant la pression diplomatique à ses frontières.
L’Algérie, qui clopin-clopant s’efforce de maintenir un certain leadership régional, pourrait être amenée à revoir sa politique étrangère face à un renforcement de l’axe Rabat & Co. Cette nouvelle configuration géopolitique transformerait l’équilibre des pouvoirs en Afrique du Nord et mettrait en lumière les faiblesses de la diplomatie algérienne, souvent perçue comme rigide et peu adaptée aux changements rapides.
Outre les implications politiques, la réélection de Trump pourrait avoir des répercussions économiques considérables à l’Est de l’Éden. La relance de la production et des exportations de gaz de schiste par les États-Unis, encouragée par une administration pro-exploitation, pourrait faire chuter les prix mondiaux du gaz naturel.
Pour un pays comme l’Algérie, dont l’économie dépend à plus de 90 % des exportations d’hydrocarbures, cela signifierait un coup dur pour ses finances et une pression accrue sur le régime. La diversification économique, souvent évoquée, mais rarement mise en œuvre efficacement, deviendrait plus qu’une nécessité : une question de survie.
De plus, une baisse prolongée des revenus gaziers et pétroliers pourrait aggraver la crise sociale en Algérie, où le chômage et l’inflation restent des préoccupations majeures. Le mécontentement populaire, déjà palpable lors des manifestations du Hirak, pourrait ressurgir avec davantage de force, incitant le régime à adopter des mesures répressives pour contenir une contestation renouvelée.
Face à cette éventuelle réalité, le président mal nommé et ses alliés, du moins, ceux qui arrivent encore à le supporter, devront réagir avec une rapidité et une stratégie sans précédent. Le soutien américain renouvelé aux partenaires clés de la région pourrait éroder l’influence déjà fragile de l’Algérie dans la région et compromettre sa capacité à peser sur les questions stratégiques.
Les choix qui s’offrent à Alger sont limités : soit tenter de diversifier ses alliances, soit redoubler de rhétorique nationaliste, une voie risquée qui pourrait aliéner encore plus de partenaires potentiels. Pour l’Algérie, le défi sera aussi de trouver des soutiens alternatifs dans un contexte dans lequel l’équilibre des alliances internationales évolue.
La Chine et la Russie, partenaires historiques d’Alger, pourraient être sollicitées pour compenser le manque de soutien occidental, mais cela pourrait s’avérer insuffisant face à la dynamique de coopération en cours entre les États-Unis, le Maroc et d’autres acteurs de la région.
Dans ce contexte, la position de l’Algérie, longtemps définie par une politique de non-alignement et d’indépendance diplomatique, pourrait être mise à rude épreuve. La question demeure : le régime totalitaire des capos d’Alger saura-t-il s’adapter à un paysage géopolitique en mutation rapide, où le Maroc semble prêt à saisir chaque opportunité de renforcer sa position de leader régional ? L’échec à diversifier les partenariats ou à réformer l’économie de manière substantielle pourrait accélérer l’isolement d’Alger.
Il est clair que les défis à venir pour le régime du sénile mal nommé ne se limitent pas à la sphère diplomatique. L’économie, la stabilité interne et la capacité à maintenir des alliances fiables seront autant de fronts sur lesquels le régime va devoir lutter. L’histoire récente montre que l’incapacité à anticiper et à s’adapter aux réalités géopolitiques nouvelles mène souvent à des crises internes déstabilisatrices. Pour l’Algérie, l’heure est à l’action, au risque de voir ses ambitions régionales inexorablement compromises.
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