Posted by - support -
on - 3 hours ago -
Filed in - Society -
-
3 Views - 0 Comments - 0 Likes - 0 Reviews
Voici les principaux titres développés par la presse nationale de ce mardi 25 février 2025
• Malgré les mesures prises par le gouvernement pour freiner la flambée des prix des viandes rouges, ceux-ci restent très élevés, à cause de la spéculation de certains intervenants. Le gouvernement a autorisé l’importation de 200.000 têtes d’ovins afin de faire baisser les prix, tout en maintenant un contrôle sur l’évolution du marché, notamment en surveillant les marges dégagées par chaque intervenant. Mais, aujourd’hui “les marges des importateurs oscillent entre 20 et 25 dirhams, tandis que celles des bouchers se situent entre 10 et 15 dirhams. Ainsi, les marges globales atteignent 40 dirhams, contre une fourchette traditionnelle de 20 à 25 dirhams”, constate le ministre du Commerce et de l’Industrie, Ryad Mezzour. «18 importateurs ne doivent pas tenir en otage 37 millions de Marocains», a-t-il dit lors d’une émission télévisée.
• Afin d’assurer des conditions de travail optimales conformes aux normes internationales, un projet de loi-cadre relatif au bien-être, à la santé et à la sécurité au travail est en préparation par le ministère de l’Inclusion économique, de la Petite Entreprise, de l’Emploi et des Compétences. Ce nouveau texte, dans lequel devront se développer les différentes actions préventives pour préserver la santé physique et morale des travailleurs en cohérence avec les normes internationales, constitue une étape majeure dans le renforcement du cadre juridique régissant la santé et la sécurité des travailleurs et donc la consécration de leurs droits.
• Morocco Foodex planche sur une Mission de sensibilisation des opérateurs marocains au nouveau contexte réglementaire pour l’exportation des produits agroalimentaires transformés et maritimes vers l’Union européenne. Cet événement, prévu en avril, vise à clarifier les nouvelles exigences d’accès à ce marché stratégique et à renforcer la collaboration entre professionnels marocains et internationaux dans un contexte marqué par l’entrée en fonction de la nouvelle Commission européenne.
• Après Tanger-Tétouan-Al Hoceïma, le ministère de l’Agriculture planche sur l’opérationnalisation du Registre national agricole dans la région de Fès-Meknès. Cet outil stratégique, conçu dans le cadre de la stratégie Génération Green, vise à structurer les données agricoles de la région, optimiser la gestion des exploitations et renforcer le ciblage des aides publiques. Une assistance technique sera mobilisée, dès le 24 mars prochain, pour accompagner le déploiement de ce dispositif qui viendra favoriser le développement d’une agriculture plus performante et résiliente dans la région.
• La récolte de myrtilles au Maroc enregistre un léger retard cette saison en raison des conditions climatiques. Cependant, les producteurs restent optimistes, encouragés par la qualité et la compétitivité de leurs récoltes. Contacté par «Le Matin», Mehdi Benchekroun, PDG de DMB & Co à la plateforme Fresh Plazza, explique que «les myrtilles marocaines sont cultivées principalement entre décembre et mars dans la région d’Agadir, et de janvier à mai dans le Gharb. Le pic des ventes se produit en mars, avec une fenêtre optimale de commercialisation de janvier à avril”. Par ailleurs, le spécialiste écarte toute inquiétude autour de la qualité des produits marocains: « Nous nous engageons à offrir une qualité premium, conforme aux normes de l’Union européenne ».
• Les pluies enregistrées ces derniers jours un peu partout au Maroc ont été bénéfiques pour les réserves en eau au Maroc, selon les données publiées ce lundi par le ministère de l’Équipement et de l’eau. Les retenues des barrages continuent de s’améliorer affichant un taux de remplissage de 27,7%. À la même date en 2024, ce taux était de 25,03%, représentant une augmentation notable des réserves hydriques du pays.
• Le Roi Mohammed VI a adressé un message de félicitations au Président de la République d’Estonie, Alar Karis, à l’occasion de la fête nationale de son pays. Dans ce message, le Souverain exprime ses chaleureuses félicitations à Alar Karis et ses vœux au peuple estonien de davantage de progrès et de prospérité. Le Roi saisit cette occasion pour saluer les relations d’amitié étroite liant les deux pays, faisant part de sa détermination à continuer d’œuvrer de concert avec le Président estonien en vue de renforcer et d’élargir la coopération bilatérale au service de l’intérêt commun et pour répondre aux aspirations des deux peuples.
• L’autorité nationale de régulation de l’électricité (ANRE) vient de publier les tarifs très attendus d’accès et d’utilisation des réseaux moyenne tension. A partir du 1er mars, ces nouveaux tarifs vont permettre aux clients de la moyenne tension d’avoir accès à de l’énergie verte. Les développeurs pourront produire et leur vendre de la moyenne tension. Les professionnels accueillent favorablement ces nouveaux tarifs, mais trouvent qu’ils sont encore insuffisants. Ils pointent plusieurs manques à combler pour intéresser le plus grand nombre.
• La Banque mondiale a souligné les efforts du Maroc pour faire du système agroalimentaire un modèle complet, durable et résilient au changement climatique afin d’assurer la production d’aliments « sûrs et sains», en particulier le Programme national pour l’approvisionnement en eau potable et l’irrigation 2020-2027. Amine Sami, expert en stratégie et leadership du changement pour les entreprises et les institutions, a attribué ce constat aux orientations du Roi Mohammed VI, dans ce secteur vital et stratégique, et à la volonté du Royaume de développer son secteur agricole et d’améliorer sa sécurité alimentaire afin d’atteindre l’autosuffisance. Concernant l’impact de cette attention particulière sur l’économie nationale, Sami a indiqué au quotidien qu’il s’agit d’une preuve de l’avancement des stratégies agricoles marocaines, qui renforce la confiance des investisseurs internationaux et attire davantage d’investissements dans le secteur agricole et agroalimentaire.
• Le partenariat maroco-français connaît une dynamique sans précédent sur les plans politique, économique, humain et culturel, grâce à la volonté commune des deux Chefs d’Etat, le Roi Mohammed VI et le Président Emmanuel Macron, a affirmé le président de la Chambre des conseillers, Mohamed Ould Errachid. Lors d’un point de presse conjoint avec le président du Sénat de France, Gérard Larcher, à l’issue d’entretiens tenus au siège de la Chambre des conseillers, Ould Errachid a souligné que la visite officielle de Larcher au Maroc « illustre la volonté ferme et renouvelée de capitaliser sur les acquis qualitatifs du processus d’amitié et de coopération entre la Chambre des conseillers et le Sénat français, marqué par un dialogue régulier et constructif et une action continue ».
• La cellule terroriste démantelée récemment dans plusieurs villes marocaines était un projet stratégique de la « wilaya de Daech au Sahel » pour mettre sur pied sa branche au Maroc, a indiqué le directeur du Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ), Cherkaoui Habboub. S’exprimant lors d’un point de presse organisé par le BCIJ, M. Habboub a fait savoir que « la dangerosité de cette cellule ne réside pas uniquement dans la multitude des cibles arrêtées, mais aussi dans le fait qu’elle s’inscrit dans un projet de la +wilaya de Daech au Sahel+ de mettre sur pied une branche au Royaume ».
• Le prix de vente des œufs en détail continue d’augmenter, atteignant 1,50 dirhams jusqu’à lundi et pourrait atteindre un dirham et 60 centimes ou plus, en fonction de la qualité et de la taille de l’œuf d’ici le mois de Ramadan, ce qui risque de grever le pouvoir d’achat du consommateur marocain. Des commerçants et des propriétaires de magasins de vente d’œufs ont attribué ces prix élevés au principe de l’offre et la demande, soulignant une pénurie dans les usines de production et de distribution d’œufs au Maroc. L’année dernière, la consommation moyenne d’œufs par habitant au Maroc a atteint 186 œufs, selon l’Association nationale des producteurs d’œufs, une moyenne qui demeure faible par rapport à d’autres pays.
• A l’issue de son Conseil, l’Autorité nationale de régulation de l’électricité (ANRE) a décidé de fixer le tarif d’utilisation des réseaux électriques de moyenne tension de la distribution à 5,92 centimes le kilowattheure pour la période de régulation allant du 1er mars 2025 au 28 février 2027, précisant que ce tarif sera ajusté, une année plus tard, par le taux d’inflation pour refléter les conditions économiques. Selon Bouazza Kharrati, président de l’Association marocaine des droits des consommateurs, le coût du transport de l’électricité à vendre aux sociétés de distribution sera payé par le consommateur, alors qu’avant la libéralisation du secteur, c’était l’ONE qui le payait.
The post Revue de presse de ce mardi 25 février 2025 appeared first on Hespress Français - Actualités du Maroc.