Posted by - support -
on - 8 hours ago -
Filed in - Society -
-
7 Views - 0 Comments - 0 Likes - 0 Reviews
Israël et le Hamas ont accepté mercredi un accord pour un cessez-le-feu à Gaza et la libération d’otages, après 15 mois d’une guerre. Le gouvernement israélien doit encore lui donner jeudi son feu vert.
Tour d’horizon des principales réactions à cette annonce.
Le secrétaire général de l’ONU a salué l’accord de trêve à Gaza, « première étape cruciale » qui doit impérativement permettre la levée des obstacles à l’aide humanitaire dans le territoire palestinien.
Le président sortant américain Joe Biden s’est dit « ravi » de la future libération des otages à Gaza, prévue par l’accord conclu entre Israël et le Hamas.
Le président élu Donald Trump, qui prendra ses fonctions à la Maison Blanche lundi, a assuré qu’il ne laisserait pas la bande de Gaza « redevenir un refuge pour terroristes ».
Le président égyptien Abdelfattah al-Sissi a souligné « l’importance d’accélérer l’entrée d’une aide humanitaire d’urgence à la population de Gaza ».
Les Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de l’Iran, ont salué jeudi l’accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza comme une « victoire claire » pour les Palestiniens et une « défaite ». » pour Israël, qualifié de « monstrueux régime sioniste ».
L’Arabie saoudite « souligne l’importance de s’en tenir à l’accord et de mettre un terme aux agressions israéliennes sur Gaza, et du retrait des forces d’occupation israéliennes, de manière totale de la bande » de Gaza et de « tous les autres territoires palestiniens et arabes », selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères.
Le ministère irakien des Affaires étrangères a souligné « la nécessité de permettre immédiatement l’arrivée de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza et dans les territoires palestiniens ».
Le Pakistan espère que la trêve « conduira à un cessez-le-feu permanent et permettra d’intensifier l’aide humanitaire » et réaffirme son soutien à « une solution juste, globale et durable à la question palestinienne », indique le ministère des Affaires. étrangères dans un communiqué.
Le ministère jordanien des Affaires étrangères a exhorté la communauté internationale à engager une « action immédiate pour acheminer l’aide ».
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen a salué l’accord de rêve et exhorté les deux parties à « mettre pleinement en oeuvre ».
Emmanuel Macron a affirmé que l’accord devait être « respecté » et qu’une « solution politique » devait « advenir ».
« Le cessez-le-feu ouvre la porte à une fin permanente de la guerre et à l’amélioration de la situation humanitaire précaire à Gaza », a déclaré le chancelier allemand Olaf Scholz.
Le Premier ministre britannique Keir Starmer a estimé que l’accord à Gaza, « une nouvelle qu’attendaient désespérément les Israéliens et les Palestiniens », n’avait que « trop tardé ».
Le ministre italien des Affaires étrangères, Antonio Tajani, a estimé que l’accord conclu pour un cessez-le-feu et la libération d’otages à Gaza était « une excellente nouvelle », et « un pas important vers la paix ».
Le Premier ministre espagnol, Pedro Sanchez a salué l’accord, affirmant qu’il « est crucial pour atteindre la stabilité régionale ».
« Après de trop longs mois de conflit, nous éprouvons un immense soulagement pour les otages, pour leurs familles et pour la population de Gaza », a affirmé le Premier ministre belge, Alexander de Croo.
« Nous espérons que cet accord sera bénéfique pour notre région et pour toute l’humanité, en particulier pour nos frères palestiniens, et qu’il ouvrira la voie à une paix et à une stabilité durable », a écrit le président turc Recep Tayyip Erdogan. .
« Nous appelons les parties à agir immédiatement. Tous les otages doivent être libérés. Cette violence et cette souffrance horribles doivent cesser », a écrit le Premier ministre canadien, Justin Trudeau.
« Le Brésil exhorte les parties impliquées à respecter les termes de l’accord et à garantir la cessation permanente des hostilités, la libération de tous les otages et l’entrée libre de l’aide humanitaire à Gaza », a déclaré le ministère des Affaires étrangères.
Le Comité international de la Croix rouge (CICR) s’est dit prêt à faciliter la libération d’otages et de prisonniers et à « augmenter massivement » son assistance à Gaza.
« Un cessez-le-feu est le début – et non la fin », a déclaré dans une vidéo postée sur X la directrice exécutive du Programme alimentaire mondial (PAM), Cindy McCain.
« La paix est le meilleur des remèdes », a écrit sur X le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) Tedros Adhanom Ghebreyesus.
The post Trêve à Gaza : les principales réactions appeared first on Hespress Français - Actualités du Maroc.