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L’affaire du viol présumé d’une avocate française par des héritiers d’empires économiques soulève désormais de nombreuses interrogations. Au cœur de cette affaire, le juge d’instruction Rachid Oussama est chargé d’examiner une demande cruciale de la défense de « Kamil. B », l’accusé principal, qui vise à organiser une confrontation entre l’accusé, la plaignante et les témoins, en présence du procureur général, apprend-on de nos sources.
Les développements de cette enquête révèlent une dynamique complexe où les rôles de victime et d’accusé s’entremêlent. Selon les sources proches du dossier, la défense s’attache à démontrer que la plaignante ne dispose d’aucune preuve tangible ou de témoignages susceptibles de corroborer ses allégations de viol.
Pour ce faire, ils ont présenté une liste de témoins ayant nié les faits reprochés, renforçant ainsi leur position. Une témoin a même déclaré avoir vu la plaignante participer, de son plein gré, à des relations sexuelles lors de la fête qui s’est tenue dans la villa luxueuse de l’accusé à Ain Diab.
Les témoignages recueillis indiquent également que la plaignante semblait agitée pendant la soirée, sous l’influence de l’alcool et de drogues. Son comportement aurait inclus du harcèlement à l’égard d’autres invités, remettant ainsi en question la crédibilité de ses accusations. Le juge d’instruction a donc dû étudier attentivement ces éléments, y compris un extrait audio pertinent, qui expose des pressions exercées sur deux accusés, dont le fiancé de la plaignante, qui a retiré sa plainte, évoquant des craintes pour sa sécurité en raison du comportement de la plaignante tout au long de l’événement.
Face à cette situation, la défense de l’accusé principal cherche à prouver que ce dernier est prêt à se confronter à la plaignante et que cette dernière manque de preuves solides. De son côté, la plaignante maintient qu’elle a été droguée avec du GHB et n’est pas dépendante des substances qui ont été détectées dans ses analyses, allant jusqu’à mentionner qu’elle suit un traitement psychologique pour surmonter ce qu’elle décrit comme un véritable traumatisme.
De plus, la défense a exprimé ses craintes de voir leurs clients devenir des victimes des préjugés liés à leur statut socio-économique. Dans un climat de suspicion, ils ont nié toute tentative de corruption à l’égard de la plaignante, affirmant leur confiance en la justice marocaine. contrairement à la plaignante, qui, selon son témoignage dans le procès-verbal judiciaire en France, a tenté de se prévaloir de sa nationalité au Maroc et a remis en question les institutions judiciaires du Royaume.
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