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À quelques jours de leur départ, pour l’Afrobasket 2025 (Côte d’Ivoire), les Lionnes du basket poursuivent leur préparation à Saly. Un cadre jugé optimal par Yacine Diop. Invitée de l’émission Galaxie sport sur la RTS, l’expérimentée capitaine des Lionnes s’est exprimée sur les changements de programme de stage, initialement prévu aux Etats-Unis. Elle s’est aussi prononcée sur le rendez-vous continental en rappelant sa particularité et ses exigences.
Le changement du programme de stage bloqué par le refus du visa américain n’aura pas affecté l’équipe du Sénégal. Invitée de l’émission Galaxie sur la RTS, la capitaine des Lionnes, Yacine Diop a rassuré sur les conditions du stage.« Je ne pense pas que le changement de lieu de préparation nous ait perturbées. De toute façon, on devait rester aux États-Unis seulement une dizaine de jours, car le coach ne pouvait pas venir plus tôt. Alors, au lieu de perdre ce temps sans réellement travailler, il avait souhaité qu’on aille là-bas pour commencer le regroupement. Finalement, nous ne sommes pas parties, et cela s’est avéré être un avantage », a-t-elle souligné.
A quelques jours de leur départ en Côte d’Ivoire, l’ailière qui évolue en Turquie note que la sélection bénéficie de conditions optimales à Saly où la Tanière a établi ses bases. « Aujourd’hui, nous sommes dans d’excellentes conditions. Je tiens à remercier le ministre des Sports, le Premier ministre Ousmane Sonko, ainsi que le président de la Fédération. On est chez nous, on n’est pas loin de nos familles et on s’entraine. Nous estimons qu’on pouvait pas avoir mieux », a-t-elle rassuré.
En direction de son quatrième Afrobasket, Yacine Diop a partagé la grande expérience en reconnaissant que la compétition continentale reste un tournoi à part avec ses exigences et ses réalités que les joueuses doivent intégrer.« Quand je discute avec mes coéquipières les moins expérimentées, je leur dis souvent que l’Afrobasket est une compétition assez particulière. On vit une autre forme de tension. On l’aborde avec une autre mentalité. Les matchs s’enchaînent et cela joue sur le plan physique et mental de la joueuse. Je ne cesse donc rappeler cet aspect et de leur demander de faire focus sur ce qui nous attend et qui est loin d’être une mince affaire. Il n’est pas facile de porter le maillot national. Il y a des exigences. Je ne cesse de le rappeler aux coéquipières’’, a-t-elle affirmé.
OMAR DIAW
L’article Préparation Afrobasket 2025- Yacine Diop capitaine des lionnes : «Même aux États-Unis, on n’aurait pas espéré mieux » est apparu en premier sur Sud Quotidien.