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Plus de cinq ans après la chute du groupe État islamique (EI), la question du retour des familles des jihadistes étrangers dans leurs pays n’est toujours pas réglée. De nombreuses femmes radicalisées et leurs enfants se trouvent toujours en Syrie sans pouvoir revenir dans leur pays d’origine faute de cadre juridique. Certains sont pris en charge dans le camp d’Orkesh, un centre créé par l’administration autonome kurde dans le nord de la Syrie il y a trois ans. Ce centre de réhabilitation qui peut accueillir 150 personnes propose trois programmes éducatifs, récréatifs et alimentaires destinés à changer la mentalité de ces jeunes étrangers qui ont grandi au sein de familles aux idées religieuses extrémistes.